LE 4e POUVOIR, réalisé par Serge Leroy, disponible en combo Blu-ray/DVD le 29 novembre 2023 chez Studiocanal.
Acteurs : Philippe Noiret, Nicole Garcia, Roland Blanche, Michel Subor, Toni Cecchinato, Jean Lescot, François-Eric Gendron, Pierre Fabien, Pascal Légitimus, Jean-Claude Brialy…
Présentatrice vedette du journal télévisé, Catherine Carré est confrontée à l’enlèvement de Yves Dorget, un journaliste qu’elle a aimé jadis. Mêlé à de dangereuses affaires, Yves a besoin d’aide.
C’est toujours avec un plaisir de se replonger dans l’oeuvre de Serge Leroy (1931-1993), réalisateur du mythique La Traque(1975), du polar burné Légitime violence (1982), sans oublier d’un des opus d’Alain Delon les plus singuliers et jouissifs, Attention, les enfants regardent (1978). Également le metteur en scène du Mataf (1973) et des Passagers (1977), Serge Leroy mérite d’être reconsidéré dans l’histoire du cinéma français et son travail, que l’on peut rapprocher de celui d’Yves Boisset, d’être réhabilité. En 1985, il connaît l’un de ses plus grands succès avec Le Quatrième pouvoir, dans lequel il exploite son passé dans le documentaire et surtout de journaliste, puisqu’il s’intéresse à la presse. S’il coécrit le film avec Yonnick Flot, c’est la journaliste Françoise Giroud qui se charge des dialogues, assurant ainsi une authenticité recherchée et à laquelle le cinéaste tenait particulièrement. Si le scénario lui-même n’est pas transcendant et même disons-le prévisible, Le Quatrième pouvoir vaut pour ses deux formidables têtes d’affiche, Philippe Noiret et Nicole Garcia, dont l’alchimie est évidente, vibrante, totale, qui sont eux-mêmes épaulés par une distribution haut de gamme. Pas inoubliable, mais un bon moment et dont le message n’a évidemment pas vieilli.
UN BEAU MATIN réalisé par Mia Hansen-Løve, disponible en DVD le 7 mars 2023 chez Blaq Out.
Acteurs : Léa Seydoux, Pascal Greggory, Melvil Poupaud, Nicole Garcia, Camille Leban Martins, Sarah Le Picard, Pierre Meunier, Fejria Deliba…
Scénario : Mia Hansen-Løve
Photographie : Denis Lenoir
Durée : 1h48
Année de sortie : 2022
LE FILM
Sandra rend souvent visite à son père, Georg, atteint d’une maladie neurodégénérative. Alors qu’elle s’engage avec sa famille dans un parcours du combattant dans les hôpitaux et les Ehpads pour installer Georg en lieu sûr, Sandra fait la rencontre inattendue de Clément, un ami perdu de vue avec qui s’ouvre une relation passionnée, mais incertaine.
Mia Hansen-Løve a mis les bouchées doubles, puisque même pas un an sépare la sortie française de Bergman Islandet la présentation d’Un beau matin au Festival de Cannes en 2022. La réalisatrice revient à la langue française pour son huitième long-métrage (en quinze années) et c’est une nouvelle et puissante réussite. Comme bien souvent, Un beau matin est parcouru de souvenirs autobiographiques, mais s’avère sans doute cette fois de l’oeuvre la plus personnelle de son auteure. Décidément, après Tout est pardonné, Le Père de mes enfants, Un amour de jeunesse, Eden, L’Avenir, Maya et Bergman Island, Mia Hansen-Løve prouve qu’elle est et demeure sur la première place du podium des cinéastes français de sa génération. Voilà typiquement le film que tout le monde devrait voir à la sortie de l’hiver et des jours au ciel gris, car au-delà de son sujet grave et universel, Un beau matin est sublime à regarder, frais, ensoleillé, léger comme une robe d’été. Nous n’avions probablement pas vu d’aussi beaux baisers de cinéma depuis longtemps. Ne manquez surtout pas ce concentré unique d’immense sensibilité, qui donne violemment envie d’embrasser et de serrer sa/son partenaire.
L’HONNEUR D’UN CAPITAINE réalisé par Pierre Schoendoerffer, disponible en Blu-ray le 1er mai 2022 chez Studiocanal.
Acteurs : Jacques Perrin, Nicole Garcia, Georges Wilson, Charles Denner, Claude Jade, Robert Etcheverry, Georges Marchal, Jean Vigny…
Scénario : Jean-François Chauvel, Pierre Schoendoerffer & Daniel Yonnet
Photographie : Bernard Lutic
Musique : Philippe Sarde
Durée : 2h
Date de sortie initiale : 1982
LE FILM
Paris 1982. 20 ans sont déjà passés depuis la fin de la guerre d’Algérie. Au cours d’une émission télévisée consacrée au conflit, un professeur de la Sorbonne accuse Martin Caron, un officier tué lors des derniers combats, d’avoir été un tortionnaire et un criminel. Sa veuve décide de laver l’honneur de son mari…
1977, Pierre Schoendoerffer (1928-2012) réalise Le Crabe-Tambour, qui attire 1,2 million de spectateurs dans les salles, se voit récompenser par six nominations aux César l’année suivante et en obtient trois, ceux du Meilleur acteur pour Jean Rochefort, du Meilleur acteur dans un second rôle pour Jacques Dufilho et de la Meilleure photographie pour Raoul Coutard. Cinq ans plus tard, L’Honneur d’un capitaine ne connaîtra pas le même engouement avec seulement 418.000 entrées, dépassé alors par le triomphe inattendu du documentaire L’Amérique interdite de Romano Vanderbes et de Class 1984 de Mark L. Lester. Rétrospectivement, le septième long-métrage du cinéaste (en tenant compte de La Passe du diable, coréalisé avec Jacques Dupont, et en écartant ses documentaires) apparaît comme étant le plus sobre dans son dispositif, puisqu’il s’agit d’un film de procès, se déroulant essentiellement dans un tribunal, avec différents apartés centrés sur les agissements du capitaine, élégamment campé par feu Jacques Perrin. Ce dernier est monté en grade, puisqu’après avoir joué un sous-lieutenant dans La 317e Section (1965) et un lieutenant dans Le Crabe-Tambour (1977), le voici promu capitaine. Comme d’habitude, Pierre Schoendoerffer n’y va pas de main morte et fonce tête baissée en abordant un sujet encore tabou, en l’occurrence la guerre d’Algérie, en exposant constamment les arguments des deux partis adverses. Dommage que la mise en scène s’avère paresseuse, surtout durant les très longs passages de procès, qui pâtissent également d’un gros manque de rythme, car le propos reste évidemment passionnant et l’interprétation brillante.
PARTENAIRES réalisé par Claude d’Anna, disponible en DVD le 31 janvier 2022 chez Doriane Films.
Acteurs : Nicole Garcia, Jean-Pierre Marielle, Michel Galabru, Michel Duchaussoy, Elisa Servier, Jenny Clève, Alexandre Rignault, Georges Montillier, Jean Achache…
Scénario : Claude d’Anna & Laure Bonin
Photographie : Pierre Dupouey
Durée : 1h13
Date de sortie initiale : 1984
LE FILM
Dans les comédies de boulevard, les scènes de ménages sont souvent cocasses. Partenaires sur les planches, Marion et son mari vont atteindre la perfection. Un drame a brisé leur vie et l’affrontement est réel.
En toute honnêteté, nous n’avions jamais entendu parler du dramaturge, réalisateur et metteur en scène Claude d’Anna (né en 1945) et encore moins de ce film, Partenaires, pourtant interprété par de formidables comédiens. Des longs-métrages se déroulant dans l’univers du théâtre, il y en a des tas, comme l’affreux Birdman (2014) du ronflant Alejandro González Iñárritu, l’extraordinaire Jeux dangereux – To Be or Not to Be (1942), le glacial Le Dernier métro (1980) de François Truffaut, le surestimé Shakespeare in Love (1998) de John Madden, l’insupportable La Vénus à la fourrure (2013) de Roman Polanski, le génial Le Créateur (1999) d’Albert Dupontel, l’hypnotique Ève… – All About Eve (1950) de Joseph L. Mankiewicz, l’incroyable Opening Night (1977) de John Cassavetes, le sublime Esther Kahn (2000) d’Arnaud Desplechin. Dans ceux-ci, les auteurs et cinéastes se sont souvent penchés sur la frontière friable entre la vie privée et la vie professionnelle des comédiens, sur le vécu qui influe sur l’autre, où les sentiments deviennent confus. Dans Partenaires, Claude d’Anna se penche sur la relation d’un couple d’acteurs, en pleine représentation, qui profitent de leurs sorties de scène pour régler quelques différends, qu’on devine récurrents. Le portrait de l’un et celui de l’autre se dessinent progressivement, l’objet de leur conflit se dévoile, et l’on en vient à se demander jusqu’où ces deux individus se sont inspirés de leur expérience personnelle pour s’en servir dans leur travail, ou si ce qu’ils expriment sur leur traumatisme est bien réel ou une « répétition ». C’est là que Partenaires devient intéressant, tandis qu’on admire la beauté féline de Nicole Garcia et la grâce éternelle de Jean-Pierre Marielle.
L’ORIGINE DU MONDE réalisé par Laurent Lafitte, disponible en DVD et Blu-ray le 19 janvier 2022 chez Studiocanal.
Acteurs : Laurent Lafitte, Karin Viard, Vincent Macaigne, Hélène Vincent, Nicole Garcia, Pauline Clément, Luca Malinowski, Christine Beauvallet…
Scénario : Laurent Lafitte, d’après la pièce de Sébastien Thiery
Photographie : Axel Cosnefroy
Durée : 1h40
Date de sortie initiale : 2021
LE FILM
Un jour, sans crier gare, le coeur de Jean-Louis s’arrête de battre. Jean-Louis devrait être mort mais il parle, marche, vit sa vie comme si de rien n’était. Affolé, il demande son avis à Michel, son ami vétérinaire qui bien sûr ne parvient pas à expliquer ce phénomène étrange. Valérie, son épouse qui n’a aucune connaissances médicales, n’est d’aucune aide. Désespéré, le couple tente de trouver des réponses auprès de Margaux, la coach de vie de Valérie, un peu guérisseuse et en lien avec les forces occultes…
S’il apparaît sur les écrans depuis les années 1990 dans les séries du style Premiers baisers et Classe mannequin, Laurent Lafitte (né en 1973), commence de plus en plus à se faire remarquer au cinéma dans les années 2000 dans des seconds rôles. On le voit tour à tout chez Mathieu Kassovitz (Les Rivières pourpres), Guillaume Canet (Mon idole, Ne le dis à personne), Lionel Delplanque (Président), Claude Miller (Un secret)… Puis, après le triomphe des Petits mouchoirs, tout s’accélère et le comédien accède désormais en haut de l’affiche. C’est le cas pour De l’autre côté du périph de David Charhon, Les Beaux Jours de Marion Vernoux, 16 ans… ou presque de Tristan Séguéla, Elle l’adore de Jeanne Herry et Papa ou maman (et sa suite) de Martin Bourboulon qui sont tous des succès. Parallèlement, après son one-man show Laurent Lafitte, comme son nom l’indique, qui a fait salle comble au Palais des glaces en 2008, le pensionnaire de la Comédie-Française, révèle une face plus sombre dans quelques films dramatiques, dans Boomerang de François Favrat, Elle de Paul Verhoeven, K.O. de Fabrice Gobert, Paul Sanchez est revenu de Patricia Mazuy, Au revoir là-haut d’Albert Dupontel et L’Heure de la sortie de Sébastien Marnier, dans lesquels il est chaque fois remarquable. Bref, Laurent Lafitte est un acteur fabuleux, virtuose dans tous les genres. On attendait de pied ferme ses débuts à la mise en scène avec L’Origine du monde, l’adaptation de la pièce de théâtre du même nom de Sébastien Thiéry, gros carton du théâtre du Rond-Point en 2013. Et cette fois encore, Laurent Lafitte se surpasse, en signant tout simplement LA comédie de l’année 2021. Politiquement incorrect, osé, couillu même, L’Origine du monde est un film qui nous emmène là où on s’y attendait le moins. S’il s’accompagne forcément de son essence théâtrale originale, comme c’était aussi le cas pour Le Dîner de cons de Francis Veber et Le Prénom d’Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte, ce premier film se démarque par son humour anglo-saxon qui viendrait parasiter un vaudeville bien de chez nous, le tout marqué par l’élégance habituelle de son réalisateur et de formidables numéros d’acteurs. Ça fait un bien fou !
CELLE QUE VOUS CROYEZ réalisé par Safy Nebbou, disponible en DVD et Blu-ray le 2 juillet 2019 chez Diaphana
Acteurs : Juliette Binoche, Nicole Garcia, François Civil, Marie-Ange Casta, Guillaume Gouix, Charles Berling, Jules Houplain, Jules Gauzelin…
Scénario : Safy Nebbou, Julie Peyr d’après le roman de Camille Laurens
Photographie : Gilles Porte
Musique : Ibrahim Maalouf
Durée : 1h37
Date de sortie initiale : 2019
LE FILM
Pour épier son amant Ludo, Claire Millaud, 50 ans, crée un faux profil sur les réseaux sociaux et devient Clara une magnifique jeune femme de 24 ans. Alex, l’ami de Ludo, est immédiatement séduit. Claire, prisonnière de son avatar, tombe éperdument amoureuse de lui. Si tout se joue dans le virtuel, les sentiments sont bien réels. Une histoire vertigineuse où réalité et mensonge se confondent.
Découvert en 2004 avec son excellent premier long métrage Le Cou de la girafe, le réalisateur Safy Nebbou (né en 1968) a su imposer sa griffe et son univers au fil de ses six films mis en scène en quinze ans. Si l’on remarque une nette prédilection pour le suspense, genre dans lequel il est d’ailleurs le plus habile et le plus convaincant (L’Empreinte en 2008, Comme un homme en 2012), le cinéaste s’est également illustré dans le biopic avec L’Autre Dumas (2010), par forcément pour le meilleur, et Dans les forêts de Sibérie (2016), adapté du récit autobiographique éponyme de Sylvain Tesson. Avec Celle que vous croyez, Safy Nebbou s’attaque au drame psychologique. En adaptant le roman homonyme de Camille Laurens publié en 2016, le réalisateur signe un film fort sur les rencontres 2.0., sur le désir féminin et sur celui de plaire après 50 ans, tout en offrant à Juliette Binoche l’un de ses plus beaux rôles depuis quinze ans.
Claire Milaud est une femme divorcée de cinquante ans et professeur de son métier. Un jour, elle crée son faux profil sur Facebook sous l’apparence d’une jeune femme de vingt-quatre ans, ajoutant un faux prénom, Clara, de fausses photos et de faux caractères. Tout cela pour espionner son ex-amant Ludo, mais elle y tombe sur son meilleur ami Alex avec qui elle va s’amuser virtuellement et sentimentalement…
Juliette Binoche n’a jamais arrêté de tourner. La comédienne n’a pas chômé dans les années 2010 qui avait ouvert la décennie avec Copie conforme d’Abbas Kiarostami. Capable de métamorphoses inattendues, l’actrice née en 1964 aura enchaîné grands spectacles hollywoodiens (Godzilla de Gareth Edwards, Ghost in the Shell de Rupert Sanders), comédies insignifiantes dans lesquelles elle abuse de son rire contagieux (La Vie d’une autre de Sylvie Testud, Telle mère, telle fille de Noémie Saglio) ou gigantesque délire (Ma Loute de Bruno Dumont). Mais Juliette Binoche c’est aussi l’incarnation de femmes matures, confrontées à leur demi-siècle et aux autres générations, comme dans Elles de Małgorzata Szumowska (dans lequel François Civil jouait d’ailleurs le fils de l’actrice !), Sils Maria d’Olivier Assayas, et dernièrement dans le très beau Un beau soleil intérieur de Claire Denis.
Dans Celle que vous croyez, la comédienne clôt comme qui dirait les années 2010 avec un personnage qui englobe tous ses rôles précédents. Avec sa sensibilité à fleur de peau, sa voix étranglée par l’émotion, ses yeux embués comme un personnage de manga et sa respiration saccadée, Juliette Binoche foudroie le coeur des spectateurs une fois de plus et mériterait sa dixième nomination aux César. A ses côtés, François Civil (né en 1990) confirme tout le bien que l’on pensait de lui depuis sa réelle découverte dans Made in France de Nicolas Boukhrief. Formidable dans Burn Out de Yann Gozlan, le comédien est à l’affiche de quatre films en 2019, Le Chant du loup d’Antonin Baudry, Mon inconnue de Hugo Gélin, Deux moi de Cédric Klapisch et Celle que vous croyez. Quatre longs métrages à travers lesquels le comédien démontre la diversité de son talent.
Safy Nebbou jongle avec les genres, distille quelques effets de comédie dans un drame passionnel pur et dur, tout en instaurant un suspense palpable. L’ombre de Vertigo – Sueurs froides d’Alfred Hitchcock plane parfois sur Celle que vous croyez, toutes proportions gardées. Le réalisateur filme Paris de façon presque anonyme, une ville gigantesque qui referme ses tentacules sur ses habitants, les isole et les place face à eux-mêmes, état souvent mis en relief par l’utilisation de portes-fenêtres, des miroirs ou des écrans dans lesquels se reflètent les visages, le tout magnifié par la photographie du chef opérateur Gilles Porte. Le cinéaste n’a pas peur du romanesque et trouve un juste équilibre entre le mélodrame et son étude souvent passionnante sur les débordements liés aux réseaux sociaux en mélangeant alors réalité et virtuel. Un superbe portrait de femme.
LE DVD
Le DVD et le Blu-ray de Celle que vous croyez sont disponibles chez Diaphana. L’éditeur nous a confié l’édition standard, dont le visuel reprend celui de l’affiche du film. Le menu principal est animé et musical.
Formidable making-of (35’) disponible sur les deux éditions. Ce document se compose d’entretiens avec l’équipe du film, et surtout d’images de tournage où nous pouvons observer le travail du réalisateur Safy Nebbou avec les comédiens. Le roman original de Camille Laurens, son adaptation, la psychologie des personnages, la préparation des comédiens, les partis pris, les conditions de tournage, tous ces sujets sont abordés au cours de ce module bien réalisé.
L’interactivité se clôt
sur la bande-annonce.
L’Image et le son
Le master SD est assez aléatoire. Les scènes en extérieur bénéficient d’une belle restitution de la photographie de Gilles Porte, avec des couleurs froides et un piqué acéré. En revanche, là où ça coince ce sont les scènes en intérieur dans l’appartement de Claire où la définition est très aléatoire. La gestion des contrastes est déséquilibrée et le rendu assez terne.
Ce n’est pas avec un film comme Celle que vous croyez que vous mettrez à contribution votre installation sonore. L’éditeur joint tout de même une piste DD 5.1 convaincante, mais la Stéréo également au programme fait son office avec des effets dynamiques. A noter que l’éditeur joint les sous-titres pour sourds et malentendants, ainsi qu’une piste Audiodescription.