IL ÉTAIT UNE FOIS MARILYN JESS / LINGERIES FINES ET PERVERSES réalisés par Michel Baudricourt (Michel Caputo) et Paul Kermann (Jean-François Davy), disponibles en Blu-ray chez Pulse Vidéo & Vinegar Syndrome.
Acteurs : Marilyn Jess, Hélène Shirley, Olinka Hardiman, Cathy Ménard, Marianne Aubert, Piotr Stanislas, Alban Ceray, Christoph Clark, Richard Allan, Marina Borringer …
Scénario : Michel Caputo / Jean-François Davy
Durée : 1h17/1h24
Année de sortie : 1987/1984
LES FILMS
En 1987, Marilyn Jess, star incontestée du cinéma pour adulte français, entame le tournage de ce qui serait son ultime film. Michel Beaudricourt saisit l’opportunité de réaliser un portrait de Marilyn, au milieu des acteurs et des actrices et de l’équipe du film, créant un mélange extraordinaire de documentaire et de fantaisie érotique.Il était une fois Marilyn Jess est enfin présenté dans sa version intégrale, restée totalement inédite jusqu’à présent. Trois ans plus tôt, Jean-François Davy dirige son dernier film X en 35mm, Lingeries fines et perverses. Réunissant toutes les stars de l’époque, Hélène Shirley, Marilyn Jess, Olinka Hardiman, Cathy Ménard et Marianne Aubert, le film raconte l’histoire d’une réalisatrice d’oeuvres érotiques plongée dans un voyage à travers les fantasmes féminins.
Aaaaah Marilyn Jess, ou Patinette pour les intimes, ou bien encore Dominique Troyes pour les plus pointus…dès qu’on évoque son nom, les poils se hérissent, et pas queue. Si vous désirez en savoir plus sur la carrière de l’intéressée, reportez-vous à la chronique de La Femme-objet de Claude Mulot, disponible en Blu-ray chez Pulse Vidéo, en collaboration avec Vinegar Syndrome. Ces derniers continuent sur leur lancée et livrent non pas un, mais deux films avec la star du cinéma pornographique français, Il était une fois Marilyn Jess (1987) de Michel Baudricourt (alias Michel Caputo), également exploité sous le titre plus « explicite » Sodomies brûlantes, et Lingeries fines et perverses (1984) de Paul Kermann, aka Jean-François Davy, baptisé aussi Change de trou, ça fume. Si le second se perd un peu dans un « intellectualisme » de pacotille, le premier vaut franchement le coup (d’oeil et de rein), puisqu’il se focalise sur la belle Marilyn, qui se prépare alors à tirer…sa révérence, après dix ans de « labeur » et une bonne centaine d’opus au compteur.
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